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Dans cet article vous trouverez les meilleurs livres (les plus populaires) sur David Fincher.


David Fincher : néo-noir (Collectif d’auteurs)

Le livre

De Seven à Zodiac, en passant par The Social Network ou Millénium, David Fincher s’est imposé, depuis son émergence à l’aube des années 90, comme l’un des cinéastes les plus accomplis de sa génération.

Réalisateur majeur et véritable artisan de l’image, il a bâti en seulement une dizaine de films une œuvre complexe, sombre et nourrie d’obsessions, portée par une mise en scène d’une précision sans pareil.

Retour sur le cinéma virtuose, cérébral et hypnotique de David Fincher.

Infos utiles

  • Nombre de pages : 200
  • Date de parution : 21/05/2021
  • Editeur : Rockyrama

David Fincher – L’obsession du mal (Juliette Goffart)

Le livre

Deuxième édition de cet ouvrage, non illustrée. D’Alien 3 à Mank, la question du mal hante le cinéma de David Fincher.

Juliette Goffart analyse la récurrence de motifs tels que l’écriture perçue comme une arme ou la propension des tueurs en série à mettre en scène leurs crimes avec un perfectionnisme radical, perfectionnisme qui n’est pas sans rappeler celui de David Fincher lui-même.

David Fincher, l’obsession du mal s’intéresse aussi bien à l’œuvre filmique que télévisuelle du cinéaste, cherchant ses influences dans le cinéma classique, tout en s’interrogeant sur les méthodes de travail de l’artiste.

L’auteur

Juliette Goffart est responsable des pages cinéma d’Études, critique de cinéma collaborant à diverses revues comme Trafic, Sofilm, Critikat.com et à l’émission Contre-bandes, et professeure de lettres et de cinéma. Elle intervient comme conférencière dans le cadre de plusieurs dispositifs d’éducation à l’image et a rédigé plusieurs livrets pédagogiques dans le cadre de Lycéens au cinéma, sur Taxi Téhéran de Jafar Panahi, Le Voyage de Chihiro de Hayao Miyazaki et L’Heure de la sortie de Sébastien Marnier.

Infos utiles

  • Nombre de pages : 152
  • Date de parution : 13/09/2021
  • Editeur : Marest Editeur
  • Collection : Essais
  • Format : 21 cm x 17 cm

Les chambres noires de David Fincher (Nathan Rera)

Le livre

SevenFight ClubZodiacThe Game, The Social NetworkMillénium … David Fincher est un cinéaste majeur, qui a fait de la représentation visuelle l’enjeu principal de ses films. Ce livre s’intéresse surtout aux images fixes du réalisateur.

Cliché médico-légal, amateur voire érotique, images d’archives, albums de famille : la photographie se décline, dans le cinéma de Fincher, sous sa forme la plus évidente, en convoquant de grands photographes contemporains (Witkin, Hido, Arbus…).

Que nous disent ces lambeaux de photographies, récurrents chez le cinéaste, de sa conception du monde et de la représentation ?

À la manière de l’archéologue, il s’agit de sonder ces strates d’images immobiles en pénétrant leur chair ardente, en essayant d’en dénouer les secrets et les ombres. Car, si « la photo elle-même n’est en rien animée » comme l’écrit Roland Barthes, « elle [nous] anime : c’est ce que fait toute aventure ».

L’auteur

Nathan Réra, docteur en histoire de l’art, consacre notamment ses travaux aux formes documentaires et artistiques qui prennent en charge les témoignages et la mémoire liés aux génocides. Il a publié aux Presses du réel : Rwanda, entre crise morale et malaise esthétique – Les médias, la photographie et le cinéma à l’épreuve du génocide des Tutsi (1994-2014). Aux éditions Rouge Profond, il est l’auteur de deux ouvrages : Au jardin des délices. Entretiens avec Paul Verhoeven et De Paris à Drancy, ou les possibilités de l’Art après Auschwitz.

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  • Nombre de pages : 144
  • Date de parution : juin 2014
  • Editeur : Rouge Profond
  • Collection : Decors
  • Format : 20 cm x 15 cm

David Fincher, explorateur de nos angoisses (Dominique Legrand)

Le livre

En seulement six longs métrages, David Fincher s’est imposé comme un réalisateur avec qui il faut désormais compter dans le paysage cinématographique américain.

A sa sortie en 1995, Seven a fait l’effet d’un électrochoc. La construction du scénario, la justesse de l’interprétation, et les qualités esthétiques de la mise en scène annonçaient sans conteste la naissance d’un cinéaste important.

Après un passage par la science-fiction (Alien 3), c’est surtout dans le genre du thriller que Fincher a bâti son univers, à travers des films aussi différents que The Game ou Panic Room. Quant à Zodiac, bien plus qu’une enquête foisonnante dans l’Amérique des années 70, c’est également le récit d’une obsession.

A l’image de Fight Club, l’un des films les plus originaux et troublants de ce début de siècle, David Fincher est un conteur au talent unique, un cinéaste choc pour qui chaque nouveau film est un défi. Cet ouvrage, le premier en France à lui être consacré, passe ses thèmes de prédilection au crible de l’analyse.

L’auteur

Dominique Legrand, critique à Libération, La Revue du cinéma, Le Mensuel du cinéma, Mad Movies, et producteur d’Arkino Productions, a publié Brian de Palma, le rebelle manipulateur (Editions du Cerf), ainsi que plusieurs thrillers : Décorum (Atout Editions/Babel Noir), Rouge New York (Atout Editions) et Le Point de Connexion (Anne Carrière). En 2009, paraît Sablier d’Amour (Editions Bayard Jeunesse).

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  • Nombre de pages : 282
  • Date de parution : février 2009
  • Editeur : Cerf
  • Collection : 7e Art
  • Format : 18 cm x 12 cm

David Fincher ou l’heure numérique (Auteur)

Le livre

Jouer à résoudre des énigmes (The Game, Seven, Zodiac), à gagner au Monopoly (The Social Network), à se cacher (Panic Room, Alien 3), à se battre (Fight Club) ou à explorer des vies différentes en changeant de costumes (Benjamin Button). Entraînés dans le jeu, provoqués par les signes miroitant sous leur regard, les personnages de Fincher veulent leur donner sens ou bien les maîtriser.

Dans les thrillers, les questions morales n’ont finalement que peu d’importance, évacuées au profit d’enjeux cognitifs : quelle signification dégager de ce brouillard d’informations ? Y répondre, c’est se définir, comme l’expérimente Benjamin Button dont l’exploration du monde éprouve la liberté et défie l’étrange pliure du destin sur son corps. Comprendre les signes, en évaluer le sens et la direction, c’est avant tout trouver quelle est sa place sur ce vaste terrain de jeu.”

L’auteur

Guillaume Orignac travaille dans le financement du cinéma et collabore à Philosophie Magazine.

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  • Nombre de pages : 112
  • Date de parution : 02/10/2014
  • Editeur : Capricci
  • Collection : Actualité Critique
  • Format : 17 cm x 11 cm

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